80% des connaissances sont tacites

Caroline Audrechy
Caroline Audrechy
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80% des connaissances sont tacites

Les connaissances : le pilier invisible de l’entreprise

Dans l'univers professionnel, certaines richesses restent souvent invisibles. Les connaissances tacites, ces pépites de savoir enfouies dans l'expérience individuelle, en font partie. Mais pourquoi sont-elles si cruciales, et comment les préserver ?

Comprendre les connaissances tacites

Les connaissances tacites sont ces savoirs, ces compétences non écrites, qui résident dans l'action plus que dans la parole. Elles sont le fruit de l'expérience, personnalisées et donc, peu transférées.

L’importance de la capitalisation des savoirs

Pourquoi s'attarder sur ces savoirs furtifs ? Parce qu'ils sont le moteur de l'innovation et de l'efficacité. Sans eux, l'entreprise perd non seulement en compétitivité, mais aussi en capacité d'adaptation. En moyenne 3H sont perdues chaque jour par chaque collaborateur à chercher des réponses (sources:Askforthemoon)

Voici une liste de types de connaissances tacites souvent oubliées dans les entreprises :

  • Savoir-faire technique spécifique : techniques ou méthodes de travail uniques développées personnellement par les employés.
  • Culture d'entreprise : compréhension profonde des valeurs, des normes et des pratiques qui définissent l'organisation.
  • Réseaux informels : relations et connexions personnelles au sein de l'entreprise, ou en externe, qui facilitent la collaboration et l'échange d'informations.
  • Solutions créatives : approches innovantes et créatives pour résoudre des problèmes complexes, souvent développées par l'expérience. Qui sait comment Monsieur Dupont répare cette machine ? Grâce aux années, il a développé sa propre méthode. Non écrite, non transmise.
  • Compréhension du client : les salariés connaissent parfaitement les besoins des clients grâce à leur expérience.

1836 : un pont vers la sécurisation du savoir

Des solutions comme 1836 se présentent comme des gardiens du temple. En facilitant la capture et la préservation de ces savoirs, 1836 assure que l'entreprise conserve son bien le plus précieux : son expertise interne.

Conclusion : vers une gestion des connaissances

Avec des outils comme 1836, les entreprises ont désormais la clé pour ne pas seulement survivre, mais prospérer dans l'économie de la connaissance. Préserver l'avenir en sauvegardant le présent n'est plus un idéal mais une réalité tangible.

Caroline Audrechy

Caroline Audrechy

"Parce que transmettre c'est se protéger. Sécurisons la pérennité de nos entreprises, en structurant la transmission des connaissances clés."
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